Visions solaires
Constantin Balmont
Préface de Ludmila Savitzky. Postface de Leonid Livak
Traduit du russe par Ludmila Savitzky
324 pages
Paru le 11 septembre 2020
format 12 x20
ISBN 978-2-84679-450-3
l'ouvrage
« Je suis venu au monde pour voir le Soleil », s’était écrié le poète russe Constantin Balmont. Au début du XXe siècle, il part pour de longs voyages vers le Mexique et l’Égypte, pays des peuples et des temples du soleil, entre lesquels existe la possibilité de l’Atlantide, vers le Japon, pays-miracle de l’harmonie et du soleil levant, jusqu’aux îles du Pacifique, « où les temples sont inutiles, puisque tout y est un seul temple de lumière et de paix. »
Ode aux temps premiers du monde et de l’homme, les récits de Balmont furent traduits en 1923 en français par son amie Ludmila Savitzky pour donner ce livre unique où leur prose poétique témoigne de la joie solaire de ces terres lointaines que la modernité s’apprête à effacer à jamais.
l'auteur
Né en 1867 dans la région de Vladimir, Constantin Balmont publie en 1890 son premier recueil de poésie. Ses recueils suivants lui apportent une immense popularité et font de lui le chef de file de la poésie symboliste et moderniste russe.
Obligé de fuir après la première révolution de 1905, il part pour plusieurs voyages à travers le monde. Revenu en Russie au moment de la guerre, il accueille favorablement la révolution de février 1917 mais rejette celle d’octobre qui le contraint à l’exil définitif. Il meurt à Noisy-le-Grand en 1942.